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lundi 20 octobre 2008

MAFIA LONDO- ROMAINE ‘’RELIGIONS’’

Ça fait 4000 ans que nos sommes dominés par des dynasties mafieuses qui se perpétuent en Monarchies non électives mais consanguines.

Chinois magnifiques, cessez d'être achetables pour un job et de l'argent, soyez intègres, et faites un pied de nez à l'envahisseur britannique pour qu'il cesse de rire de vous et de faire ce qu'il veut avec vous pour un peu d'argent..... Russes et Musulmans libérés de l'Angleterre qui divise par la concurrence et.......


Classe Dirigeante Mondiale : Milliardaires et Comment ils y sont Parvenus. Prof James Petras

Classe Dirigeante Mondiale : Milliardaires et Comment ils y sont Parvenus.

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Avant d'aller plus de l'avant, voyons ceci ensemble.....

CES INSENSIBLES SONT DANGEUREUX, ILS TUENT LES PAUVRES QUE LEURS HIÉRARCHIES CRÉENT


LE DOUBLE DISCOURS DES RELIGIONS
Les Religions parlent de protéger la vie tout en parlant de vengeance et de guerres contre le Mal que sont les autres religions concurrentes. Les Religions dénoncent l'avortement tout en étant hypocritement pour et en augmentant le taux de mortalités par divers Organismes de Planning Familial contrôlés subtilement par les Religions de Droites (la Droite Musulmane, la Droite Judaive, la Droite Chrétienne...).
Tant que les têtes dirigeantes de ce monde seront des militaires, ils et elles imposeront une vie de combat à l'Humanité. Mettons dorénavant des HUMANISTES en place!


Et pourtant, avec toutes leurs Églises et leurs prétentions d'êtres de bons ''croyants'': ils ne cessent de tuer des vies humaines de milliers de façons. Autrement dit, les faits nous prouvent qu'ils se servent plutôt de la Religion et des leurs pions (espions, Chevaliers de Malte, Jésuites, Opus Dei, soldats....).... et oui, les Familles Royales d'Angleterre n'ont toujours fait que ça ''profiter des autres'': CE SONT DES PROFITEURS. Ils abusent de la crédulité et de la bonne confiance qu'ont les gens envers eux. Ils se disent ''NOBLES'' alors qu'ils font le contraire de ce que leur CODE D'HONNEUR prône. Ils sont prêts à toutes les bassesses, et aussi utilisent nonchalemment des malheureux et des suicidaires en leur faisant faire des choses horribles contre l'Humanité.

Les Leaders du Royaume-Uni sont SANS DIGNITÉ, des lâches serpents qui vous mordent mortellment sous leurs innombrables couvertures, des gens rusés (et non pas intelligents) qui agissent sournoisement en vous faisant des sourires pendants que des gens vous empoisonneront ou vous invalideront à vie sur leurs commandes.

ON NE PEUT PLUS SE FIER À LA PAROLE DES BRITANNIQUES.

Ils vous serrent la main et vous donne quelques milliards $ pour vous le reprendre malicieusement et vous faire tuer par la suite..... mais il faut toujours que cela paraisse d'une MORT NATURELLE .....

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Le nombre de milliardaires a augmenté de 793 en 2006 à 946 cette année.
En Chine, avec 20 milliardaires ayant un cumul de richesse de 29,4 milliards $, les nouveaux dirigeants, confrontés à près d’une centaine de milliers d’émeutes et de protestations, ont augmenté de 100% le nombre de milices spéciales armées anti-émeutes, ainsi que les dépenses, consacrant 10 milliards de $ pour les pauvres des zones rurales dans l’espoir de diminuer les monstrueuses inégalités de classe et afin de déjouer un soulèvement de masse.


M. Hu Jintao, président de la Chine

Vous n’êtes pas un peuple de fourmis ni d’abeilles de la reine britannique.

Chinois : vous êtes un peuple magnifique et dès plus humaniste.

Rayonnez sur le monde et montrez le bon exemple d’un peuple qui a su reconnaître la puissance du Partage et la bonne convivialité grâce à son alimentation pacifique.

Les enfants Chinois, Indiens, Arabes, Anglais ou Français… et leurs parents ont d’abord TOUS des besoins de bases, des besoins environnementaux et écono-socio-politiques que nos États doivent pourvoir… avant nos idéologies du mérite, avant nos hiérarchies salariales, avant les demandes des plus agressifs ou des mieux syndiqués, avant…..

7 milliards d’humains qui ont tous les mêmes besoins de bases et les mêmes droits économiques et sociaux

7 milliards d’humains è nous occuper

Pourquoi nos diplômes, nos sciences, nos compétences et expertises, nos porganisations sociales si nous ne savons pas unir, partager et vivre en civilisés les uns avec les autres sans s’exploiter animalement! La grandeur de tout système est de chercher à montrer à élever l’humain au-dessus de ses instincts, de l’égoïsme, … Sortons de la vie animale : évoluons!

L’HUMAIN n’est pas fait pour être pauvre, pour souffrir, pour exploiter ou être exploité!

Chinois, Africains, femmes…. vous croyez être sortis des esclavagismes des ‘’blancs’’ alors que maintenant vous cherchez à devenir plus exploiteurs encore que les ‘’blancs’’ !

Alors ne jouez plus aux guerriers: civilisons-nous!

Mesdames, vous avec cru vous désesclavagiser du foyer alors que maintenant vous parler d’exploiter, d’enrichissements sans fin….

« On est tous bons, on est tous sensibles, on est tous émotifs, on est tous à fleurs de peau… », « Personne n’en profite, juste les premiers en profitent… et vous, les 99 % (les ‘’faire valoir’’), qui continuez à croire en ceux qui se servent de vous » …


Je vous amène quelques petits rappels historiques juste

aux fins qu’on ne perpétue plus les erreurs du passé :

mais pour cela il faut bien connaître son passé.

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LA GUERRE DE L’OPIUM

OÙ L’ANGLETERRE VEUT OBLIGER LES CHINOIS À ACHETER SON OPIUM

Le 20 juin 1837,Victoria (18 ans) succède à son oncle Guillaume IV sur le trône du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande.

Tout va changer pendant les 64 années du règne de Victoria. À la veille de sa mort, la monarchie sera à son zénith et la reine, devenue immensément populaire, à la tête de la première puissance mondiale et d'un empire étendu sur le quart de la planète. Aussi ne faut-il pas s'étonner que l'époque ait été qualifiée de «victorienne» !

Le règne de Victoria est ponctué par de nombreuses guerres coloniales, dans le but de conquérir de nouveaux territoires ou de mettre à la raison les indigènes des colonies existantes.

De 1791 à 1894, le nombre de plantations d'opium concédées passa de 87 à 663 sous la surveillance de La Couronne britannique. Cela conduisit finalement aux guerres d'opium en Chine. D'autres banques britanniques mêlées au trafic de drogues étaient : The British Bank of the Middle East, Midland Bank, National Westminster Bank, Barclays Bank, The Royal Bank of et Baring Brothers Bank. Toutes ces banques sont reliées par le "Comité des 300" aux banques Rothschild". Mission" dont la tâche principale était de rendre dépendants de l'opium des travailleurs chinois pauvrement payés et de créer ainsi un marché pour écouler leur marchandise.

Preuves et documents originaux à l'appui, le "Times" affirma que la reine Victoria et son entourage (par ex. les familles Churchill et Rothschild) commandaient régulièrement d'assez gros paquets de cocaïne, d'héroïne et d'autres stupéfiants dans une pharmacie des Highlands. Les pièces justificatives de la pharmacie montrent que les personnages royaux et leurs invités fournis régulièrement et en grosse quantité en solutions de cocaïne et d'héroïne". La maisonnée royale dans sa résidence Balmoral (en Ecosse) avait en permanence assez de cocaïne et d'héroïne pour maintenir dans les hauteurs toute une vallée écossaise des Highlands".

La première guerre de l'opium fut un conflit motivé par des raisons commerciales entre le Royaume-Uni et l'empire Qing en Chine de 1839 à 1842.

Au terme de la première guerre de l'Opium, déclenchée pour défendre les intérêts ... La reine Victoria y aura recours en 1853 lors de son accouchement.

La reine Victoria, cette reine narcotrafiquante, avait imposé l’opium à coups de canon. La Chine fut transformée en une nation de drogués au nom de la ...

La Compagnie des Indes Orientales, fondée en 1599 par la reine Élisabeth d’Angleterre, ... transformé en opium, était échangé contre du thé en Chine, ...

Quand cette jeune reine de 18 ans entame son règne, la monarchie anglaise .... Il y a ainsi les guerres de l'opium à la suite desquelles la Chine dût ouvrir

Une monarchie discréditée

Le 20 juin 1837,Victoria (18 ans) succède à son oncle Guillaume IV sur le trône du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande.

Quand cette jeune reine de 18 ans entame son règne, la dynastie des Hanovre (plus tard Windsor) semble discréditée par la longue folie du roi George III et les frasquesde ses deux fils et successeurs, George IV et Guillaume IV, ce dernier affichant pas moins de dix enfants illégitimes.

Une monarchie épanouie

Peu après son accession au trône, la jeune reine décide sur un coup de foudre d'épouser son cousin, le prince allemand Albert de Saxe-Coburg-Gotha. Celui-ci, qui a l'âge que Victoria, n'éprouve pas la même passion amoureuse, du moins au début de leur union, mais il joue à la perfection son rôle de mari et de prince consort.

Albert, Victoria et leurs neuf enfants vont offrir au peuple britannique l'image idéalisée du bonheur conjugal. Luthérien pieux, Albert importe à la cour des moeurs austères qui donneront à l'ère victorienne une réputation exagérée de pruderie.

La famille royale et la monarchie atteignent le summum de leur popularité lors de l'inauguration de l' Exposition universelle de 1851, sous le Crystal Palace, une magnifique construction aujourd'hui disparue.

Une monarchie austère

Le bonheur de Victoria prend fin en 1861 avec la mort prématurée d'Albert, victime de la fièvre typhoïde. Prenant définitivement le deuil, la reine s'isole du monde, jusqu'à susciter parfois des rumeurs malveillantes dans l'opinion publique.

La Grande-Bretagne n'en poursuit pas moins SES CONQUÊTES dans le Monde Entier.

Quand la vieille reine s'éteint le 22 janvier 1901, la plupart des familles royales d'Europe pleurent une aïeule. Il est vrai que sa nombreuse progéniture a essaimé dans toutes les cours, lui valant le surnom de «grand-mère de l'Europe».

Son fils et successeur, le populaire Édouard VII (60 ans), amant heureux et bon vivant, va secouer le corset puritain dans lequel se débat Merry England. Le souvenir du prince Albert s'estompe. Bientôt, on s'étripera dans les tranchées.

La reine Victoria était considérée comme une femme froide et dure. Plein de livres l’ont taxée de ‘’droguées’’ mais sans jamais bien nous expliquer pourquoi. En fait, c’était toute une société qui l’était, qui était droguée et obligée de l’être

Au nom de l’Économie du XV111ième siécle, ce pays conquérant a été jusqu’à droguer sa population, ses militaires, nous dit de nombreux livres sur le sujet.


Le trafic d’OPIUM que l’Angleterre opérait (la reine Victoria) sur la Planète

Pour droguer leurs militaires, les stimuler…..


Le trafic d'opium de la famille royale anglaise au 18ème siècle

Avant d'entamer ce sujet sur l'Angleterre, clarifions, d'abord, quelques concepts.

Le trafic d'opium de la famille royale anglaise au 18ème siècle

La "REINE " est le chef de la famille royale anglaise et de l'Empire colonial britannique, avec Londres comme capitale, régi par un Premier ministre et un cabinet d'étroits collaborateurs.

La "REINE " est le chef de la famille royale anglaise et de l'Empire colonial britannique, avec Londres comme capitale, régi par un Premier ministre et un cabinet d'étroits collaborateurs.

A Londres se trouve, cependant, comme à Rome avec le Valican, un Etat séparé, indépendant, la "CITY ". La "CITY ", qualifiée comme le "mile carré" le plus riche du monde, occupe au coeur de Londres 2,7 kilomètres carrés. Elle passe pour avoir 4.600 habitants et 500.000 emplois.

Le gouvernement de la "CITY " c'est la "COURONNE ", composée de 13 hommes régis par le roi de la "CITY ", le "LORD MAYOR".

C'est là que se trouvent les plus riches et les plus puissantes institutions économiques d'Angleterre, comme la Banque d'Angleterre contrôlée par Rothshild, la Lloyd's of London, la Bourse de Londres, les bureaux de konzerns commerciaux à la renommée internationale ainsi que la "Fleet Street ", le coeur du monde de la presse et de l'édition.

La "City " ne fait pas partie de l'Angleterre. Elle n'est ni sous le contrôle de la monarchie ni sous celui du Parlement britannique. La "City " est le véritable gouvernement de l'Angleterre puisque la reine comme le Premier ministre relèvent du "Lord Mayor" et lui obéissent : le Premier ministre et le cabinet font croire qu'ils dirigent le jeu alors qu'ils ne sont, en réalité, que les pures marionettes de la "City ".

Quand la REINE rend visite au LORD MAYOR, celui-ci vient l'accueillir au "Temple Bar", porte symbolique de la ville. Elle s'incline et demande la permission d'entrer dans son Etat privé souverain. Il lui accorde l'entrée en lui présentant l'épée de l'Etat. Lors de telles visites d'Etat, LORD MAYOR est d'autant plus rayonnant dans sa robe d'apparat que la tenue "de service" de la suite royale est modeste. Lorsqu'il accompagne ensuite la reine à travers la ville, celle-ci marche à deux pas derrière lui.


C'est à William Paterson qui était un "agent de la City" que nous devons la fondation de la "Banque d'Angleterre", comme nous l'avons déjà vu. D'après les explications de Des Griffin, la CITY est contrôlée par l'empire Rothschild.

Pour éviter des malentendus, il nous faut savoir qu'il existait en Grandc-Bretagne deux empires qui agissaient séparément. L'un fut l'Empire colonial britannique sous la direction de la famille royale, l'autre l'Empire de la Couronne. Toutes les colonies peuplées de blancs (l'Afrique du Sud, l'Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada) étaient sous l'autorité du gouvernement anglais. Toutes les autres colonies(l'Inde, l'Egypte, les Be rmudes, Malte, Singapour, Hong Kong, Gibraltar et les colonies d'Afrique centrale) étaient la propriété privée de la Couronne, désignées comme les colonies de la couronne. (49)

Cela ne synifie pas, cependant, qu'il n'y avait pas de coopération. En agrandissant ses colonies anglaises, la compagnie britannique EAST INDIA MERCHANT COMPANY (BEIMC) accumula une fortune géante grâce au trafic d'opium. La BEIMC fonda l' "Inland Mission" dont la tâche principale était de rendre dépendants de l'opium des travailleurs chinois pauvrement payés et de créer ainsi un marché pour écouler leur marchandise. La famille royale britannique se félicita tant et si bien de ces immenses profits qu'elle se mit à coopérer avec la BEIMC. La maison royale se mit à imposer les producteurs d'opium en Inde. Des quantités colossales d'opium furent embarquées en partance des Indes sur les "China Tea Clippers" et 13% environ du revenu économique de l'inde, qui était sous la domination de la Couronne, étaient obtenus par la vente du pur opium Be ngali en Chine, là aussi sous contrôle de la Couronne.

Certes , la maison royale ne voulait pas que ce "coin d'ombre" apparaisse au grand jour. C'est pourquoi ils y impliquèrent les services secrets britanniques, le "BRITISH MILITARY INTELLIGENCE DEPARTEMENT (MI6) et le "SECRET INTELLIGENCE SERVICE" (SIS).


L'existence du MI6 remonte à la reine Elisabeth 1re lorsque Sir Francis Walsingham devint trésorier du département "Dirty Tricks" du MI6. Après des siècles d'expériences, le MI6 compte parmi les meilleurs services secrets du monde.

La BEIMC dirigea, pendant un siècle la course au marché de l'opim jusqu'en 1829, date où le gouvernement chinois défendit de fumer l'opium.

De 1791 à 1894, le nombre de plantations d'opium concédées passa de 87 à 663 sous la surveillance de La Couronne britannique. Cela conduisit finalement aux guerres d'opium en Chine.

En 1729. la BEIMC fonda le "COMITE IDES 300" ("Commitee of 300") qui traita d'affaires commerciales et bancaires internationales (le "Comité des 300 appelé aussi l'élire de la City, est aujourd'hui une des organisations secrètes les plus puissantes et vide à un "Gouvernement mondial unique"). Ce Comité des 300 mit au point, plus tard, des tactiques pour passer outre la loi chinoise anti-drogues.

LORS INCHAPE fonda la "Société de navigation à vapeur P&O", il fut, en fait, le fondateur de la "Banque de Hong Kong et de Shanghai" qui fut une couverture pour le trafic d'opium.
D'autres banques britanniques mêlées au trafic de drogues étaient : The British Bank of the Middle East, Midland Bank, National Westminster Bank, Barclays Bank, The Royal Bank of et Baring Brothers Bank. Toutes ces banques sont reliées par le "Comité des 300" aux banques Rothschild".

Lors de la contruction du chemin de fer Harriman qui devait relier la Californie à l'Est des Etats-Unis, on embarqua pour ces travaux des milliers de travailleurs chinois à bon marché. Be aucoup parmi eux étaient des opiomanes, c'est ainsi que s'étendit le marché de la drogue aux Etats-Unis. HARRIMAN fonda son empire du chemin de fer grâce aux prêts de la "N.M. Rothschild & Sons Bank" à Londres. Il y a de bonnes raisons d'en conclure que ces opiomanes chinois ont été embauchés dans le but d'étendre précisément aux Etats-Unis le marché des stupéfiants. (50)

Remarque sur la situation actuelle :

Le journal "Neue Solidarität" écrivait dans l'édition du 8 septembre 1993 au chapitre "La reine et les srupéfiants" :

"Voilà un fait bien rare, une surprise assez extraordinaire et agréable que de trouver, pour une fois, dans la presse britannique des nouvelles assez proches de la vérité à propos de la famille royale. La semaine dernière, c'est une nouvelle de ce style qui rivalisait dans les manchettes avec les événements politiques mondiaux en première page du sacro-saint "Times" londonien du 27 août 1993. Le titre "La famille royale était "high" dans les Highlands". L'article qui se référait à un rapport soigneusement étudié du magazine écossais "Leopard" dévoilait que drogues et stupéfiants faisaient partie se la panoplie de la famille royale brilannique. Le "Leopard" prouva, documents originaux à l'appui, que la reine Victoria et son entourage (par ex. les familles Churchill et Rothschild) commandaient régulièrement d'assez gros paquets de cocaïne, d'héroïne et d'autres stupéfiants dans une pharmacie des Highlands. Le "Times" fit la même affirmation. Il formula avec délectation : " La reine Victoria , monarque au visage sévère, connue pour cette phrase "ça ne nous amuse pas du tout", paraît avoir commandé pour la maisonnée royale dans sa résidence Balmoral (en Ecosse) assez de cocaïne et d'héroïne pour maintenir dans les hauteurs toute une vallée écossaise des Highlands". Les pièces justificatives de la pharmacie montrent que les personnages royaux et leurs invités fournis régulièrement et en grosse quantité en solutions de cocaïne et d'héroïne".

(49) Des Griffin : "Die Absteiger", p. 60 - 69
(50) Herbert G. Dorsey III : "The Secret History of the New World Order", p. 10 - 11
Dr John Coleman :

Première guerre de l'opium

La première guerre de l'opium fut un conflit motivé par des raisons commerciales entre le Royaume-Uni et l'empire Qing en Chine de 1839 à 1842. Il est souvent considéré comme le début de l'hégémonie impériale de l'Occident sur la Chine et qui ne prendra vraiment fin qu'avec la proclamation de la République populaire de Chine en 1949.

LES CHINOIS NE DOIVENT PLUS JAMAIS OUBLIER CES FAITS ET METTRE AU PAS LES BRITANNIQUES…. ET LES ORDONNER AUX RÉELS BESOINS DES HUMAINS À VIVRE FRATERNELLEMENT, sans concurrence, sans vie de combat, sans les pauvres générés par leur ‘’Équité’’ et ‘’Mérite’’….

Le Commerce extérieur de la Chine avant les guerres de l’opium

Le commerce extérieur direct de la Chine avec les pays européens débute dès le XVIe siècle, avec pour premiers partenaires économiques les Portugais (1517) qui se sont installés à Canton (sud-est de la Chine), ils ont fondé en 1550 la cité de Macao. Ensuite viennent les Espagnols aux Philippines (1565), ils y fondent Manille en 1571. Ces pays sont notamment motivés par un objectif missionnaire.

Les Hollandais se positionnent en Indonésie, Batavia (actuelle Jakarta), d’abord installés à Penghu (1603) à côté de Taiwan, puis à Taiwan (1624). Les Russes viennent en voisins par voie terrestre.

En 1685, sous le règne de l’empereur Kangxi (1662-1723), un édit impérial autorise l’ouverture de tous les ports chinois aux bateaux étrangers ; le premier navire arrive à Canton en 1689. Cependant, ce commerce reste très limité car soumis à des règles très strictes : taxes pour les négociants étrangers, obligation de passer par un seul intermédiaire (le marchand de l’empereur) qui prélève des taxes au profit de l’État. En 1720, cet intermédiaire est remplacé par un organisme collégial : le Co-hong.

Sous le règne de l’empereur Qianlong (1736-1796), la politique commerciale s’inverse, elle est limitée dans son étendue et dans son intensité. En 1757, un édit impérial énonce que le Co-hong fixera maintenant les prix et les quantités des marchandises échangées, que les frontières maritimes vont être fermées (sauf Canton) et que les étrangers ne pourront pas s’installer où ils veulent à Canton (pas le droit d’apprendre le Chinois), le but étant d'empêcher les contacts directs.

La Chine est un empire plutôt fermé sur lui-même, autant commercialement que dans le domaine de l'échange des idées et des innovations. Ceci est du à un protectionnisme strict appliqué par la bureaucratie impériale, idéologiquement soutenu à la fois par les élites, soucieuses de ne pas ébranler les rites d'une société traditionnelle très conservatrice (voire immobiliste) et par la population qu'une méfiance extrême confinant à la xénophobie maintient à distance de l'étranger.

Rien n'y est plus important que la répétition du connu (qui puise sa force de conviction dans le respect des ancêtres et dans la croyance que la perfection a été atteinte) sans se permettre de déroger à la règle sous peine de chatiments. Dès lors, quel besoin, quel intérêt y aurait-il à acheter des produits étrangers, donc inconnus, donc non-inclus dans la tradition, leur utilité fût-elle avérée? Ceux-ci étant par essence "imparfaits" en comparaison, et non-conformes aux rites... (Pour aller plus loin, cf. "L'Empire Immobile ou le Choc des Mondes", Alain Peyrefitte)

Ainsi les tentatives précédentes des marins étrangers d'établir des comptoirs et de commercer avec l'Empire qui se considère au centre du monde, n'ont pas toujours été fructueuses: ségrégation, brimades, interdiction de communiquer avec la population, arbitraire impérial, taxation frauduleuse, confiscation de biens, etc...

L'empereur en plusieurs circonstances, ne considère pas que la Chine puisse avoir un intérêt à commercer avec le reste du monde. L'Europe "sinomaniaque" de la fin du XVIIIe siècle s'entiche de la civilisation chinoise et raffole de ses bibelots. Les Britanniques importent ainsi de plus en plus de marchandises chinoises (thé, soie, porcelaine, objets laqués…).

Cet état de fait crée un déséquilibre commercial. Mais si les négociants étrangers demandent de l’aide à leur gouvernement, c'est avant tout pour mettre fin aux brimades et surtout aux ségrégations quasi institutionnalisées dont ils sont les victimes. Deux missions diplomatiques verront le jour : la première en 1793 menée par Lord McCartney pour ouvrir d’autres ports. Elle est rejetée par Qianlong qui refuse (en 1796, Qianlong abandonne son trône), la seconde en 1816, dirigée par Lord Amherst, n’a pas plus de succès.

De plus, la Chine, étant autosuffisante, ne veut pas d'échange « marchandise contre marchandise », mais exige d'être payée en monnaie d'argent uniquement. Ceci n'est pas du goût des Britanniques qui, contrairement aux Espagnols, grâce à leurs colonies en Amérique du Sud, ont peu d’argent et beaucoup de marchandises en nature, venant principalement de leurs colonies aux Indes.

Pour répondre à la demande au Royaume-Uni, les Britanniques achètent d’énormes quantités de thé aux Chinois. Ces derniers, voyant que le commerce du thé est très lucratif, se mettent à convertir leurs plantations au détriment d'autres cultures, principalement celle du coton. Du même coup, la Chine ne peut plus vivre en autarcie et doit accepter les échanges de marchandises.

Offensive commerciale des puissances étrangères

Les Chinois connaissaient déjà l’opium, ils ne l’utilisaient pas comme drogue ou stimulant, mais plutôt comme analgésique. C'est à partir du XVIIe siècle, qu'ils ont commencé à l’utiliser comme drogue. Les premiers à leur en vendre furent les Portugais, l’opium venant d’Inde.

Les Britanniques décident de se lancer dans ce commerce des plus lucratifs. Les choses vont s’intensifier au fil du temps et en 1729 entraient environ 200 caisses d’opium par an en Chine. À la fin du XVIIIe siècle, plus de 4 000, et en 1838 plus de 40 000 (vendues par les Américains et les Britanniques).

Les Anglais exigent de se faire payer en lingots d'argent, récupérant ainsi le précieux métal qu'ils avaient cédé dans le commerce du thé. La balance commerciale entre la Chine et l'Empire britannique s'inverse rapidement et dramatiquement en faveur des Anglais. La corruption des fonctionnaires chinois qui contrôlent le trafic de drogue en Chine devient préoccupante et la drogue provoque des ravages dans la population. L'Empereur décide alors de réagir en s'en prenant aux intérêts britanniques.

En 1798, le gouvernement du Premier ministre britannique William Pitt envoie une ambassade à Pékin pour négocier un accord sur les échanges commerciaux sur la base de cette situation nouvelle. L’empereur, refusant de se faire « forcer la main » à cause de l’opium, préfère fermer son pays aux commerçants et aux missionnaires européens.

La réponse des Chinois

Les Chinois vont tenter de réagir avec l’interdiction de fumer l'opium.

Les premières mesures de prohibition

La cour décida de prohiber l’opium. En 1729, un premier édit, proclamé par l’empereur Yong Zheng (1723-1736), promulgue l'interdiction du trafic d’opium, le considérant dorénavant comme de la contrebande.

Cependant le trafic continue, et en 1796, un nouvel édit, proclamé par l’empereur Jia Qing (1796-1821), va confirmer l’interdiction du trafic de l’opium sous peine de mort. Cette fois, des sanctions contre les opiomanes seront également prises.

En 1800, l’empereur va proclamer un nouvel édit qui va confirmer la prohibition de l’opium et interdire sa culture sur le sol chinois ; les dépôts d’opium sont déplacés à Huangpu.

En 1809, une mesure administrative va être prise pour tenter d’entraver le trafic : les navires qui déchargent à Huangpu doivent fournir un certificat sur lequel est indiqué qu’il n’y a pas d’opium à bord. La corruption régnant parmi les fonctionnaires ne permet pas l'application stricte de ces mesures.

Rien ne semble diminuer ou stopper un commerce très lucratif : en 1813, une caisse d’opium indien se vend 2 400 roupies (prix de revient de 240 roupies). En 1821, un nouveau décret chinois annonce que le commerce n’est plus possible à Huangpu, le marché se déplace à Lingding où il va se développer de 1821 à 1839. La Compagnie britannique des Indes orientales (East India Company) décide alors de contourner l'interdiction et augmente ses ventes illégales d'opium en Chine ; de 100 tonnes vers 1800 à 2 600 tonnes en 1838. Le commerce des Britanniques en Chine devient enfin excédentaire, en 1835, il y a 2 millions de fumeurs d’opium en Chine.

Les Chinois feront la guerre au trafic d’opium

Les autorités chinoises vont répondre de façon plus efficace. L’empereur Daoguang (1821-1851) demande conseil à une dizaine d’experts avant de prendre une décision. Au sein de la cour, il y a des partisans et des adversaires de l’opium : certains veulent légaliser le trafic et d’autres voient le problème financier que cela va poser à la Chine. Un débat va s’engager pendant deux ans. Un de ces rapports va être présenté par le gouverneur général des provinces de Hubei et du Hunan, Lin Zexu (1775-1850).

Celui-ci est plutôt partisan de l’ouverture de la Chine au monde extérieur. C’est un farouche adversaire du trafic et son rapport défend l’interdiction de l’opium. Il propose une série de mesures pour limiter le trafic et la consommation de l’opium. Son texte est fondé sur sa pratique dans ses deux provinces : confisquer les stocks de drogue et accessoires de l’opiomanie.

L’empereur nomme en décembre 1838 Lin Zexu commissaire impérial de la province du Guangdong (Canton), il a pour charge de mettre un terme à l’usage de l’opium.

L’action de Lin Zexu

En mars 1839, Lin Zexu arrive à Canton et établit la liste de toutes les fumeries d’opium, des tenanciers des fumeries et des vendeurs.

Il confisque tous les stocks d’opium de la ville : il donne ordre aux propriétaires de ces stocks de venir remettre la drogue et en échange il leur donne du thé. Ils doivent aussi s’engager par écrit à renoncer à faire du commerce avec les Chinois (vu que tous les propriétaires sont étrangers).

Le surintendant du Commerce britannique devra alors coopérer avec Lin. En avril 1839, Lin fait parvenir à la Reine du Royaume-Uni, Victoria, un message pour lui dire que la consommation d’opium est interdite en Chine et lui demande d'en faire cesser le trafic.

En juin 1839, la drogue saisie est détruite, soit 200 000 caisses (1 188 tonnes). Lin édicte un règlement qui stipule que les bateaux étrangers qui entrent dans les eaux territoriales chinoises seront fouillés. L’opinion publique est favorable à cette interdiction.

Au nom de la défense du commerce, lord Melbourne, le Premier ministre de la reine Victoria, convainc le Parlement britannique d'envoyer un corps expéditionnaire à Canton, déclenchant du même coup la première guerre de l’opium.

La fièvre monte

Au Royaume-Uni, environ 300 sociétés commerciales britanniques demandent au gouvernement britannique d’intervenir auprès des autorités chinoises. Certains veulent une intervention officielle des Britanniques pour qu’on leur paie leur marchandise détruite. Une campagne de presse est organisée pour déplorer tous ces incidents entre Britanniques et Chinois.

En Chine, les choses se tendent encore plus et il y a même des affrontements armés entre navires britanniques et jonques chinoises : le premier a lieu en septembre 1839 et le deuxième en novembre 1839. Lin Zexu interdit le port de Canton aux navires britanniques en décembre 1839, l’empereur décide de « fermer pour toujours » Canton aux Britanniques en janvier 1840.

Cette nouvelle parvient au Royaume-Uni. Un débat a lieu en avril 1840 à la Chambre des Communes entre les partisans d'opérations militaires pour la réparation des torts envers leurs commerçants et ceux qui veulent que le Royaume-Uni renonce à vendre de l’opium et du même coup renonce à une guerre. Les premiers auront gain de cause.

La guerre

En avril 1840, une armada britannique est mise sur pied : 16 vaisseaux de ligne, 4 canonnières, 28 navires de transport, 540 canons et 4 000 hommes. Sous le commandement de l’amiral Elliot, ils arrivent au large de Canton en juin 1840. Un croiseur britannique bombarde Canton et occupe l'archipel voisin des Chousan (d'où est tiré le terme de « diplomatie de la canonnière »). Les britanniques attaquent Canton mais sans parvenir à la prendre car Lin a fait planter des pieux retenus par des chaînes dans le port, les bateaux ne peuvent donc pas accoster. Il y a aussi une milice qui défend la ville.

Les Britanniques conquirent Hong Kong (alors un avant-poste mineur) et en firent une tête de pont. Les combats commencèrent réellement en juillet, quand les HMS Volage et HMS Hyacinth défirent 29 navires chinois. Les Britanniques capturèrent le fort qui gardait l'embouchure de la rivière des Perles — la voie maritime entre Hong Kong et Guangzhou.

La cour chinoise prend peur, Lin Zexu tombe en disgrâce (condamné à l’exil) et ils nomment à sa place un aristocrate, Qishan

Des négociations vont avoir lieu à Canton : Qishan fait démolir les fortifications de Lin, dissoudre la milice en novembre 1840 et réduire le nombre de soldats.

Les trois revendications britanniques :

  • La reprise du commerce avec le Royaume-Uni
  • Le remboursement des stocks d’opium détruits
  • La passation de Hong Kong (anciennement Îles Victoria) dans leur giron.

Qishan refuse. Les Britanniques tentent de le faire plier en attaquant et s’emparant de quelques ouvrages de fortification. Qishan prend peur et accepte les revendications.

La cour chinoise pense que l'acceptation de Qishan ne concerne que la reprise du commerce. En apprenant que cela va beaucoup plus loin, l’empereur décide de destituer Qishan (exécuté en février 1841) et déclare la guerre aux Britanniques le 29 janvier 1841. L’empereur remplace Qishan par Yishan.

En 1841 les forces britanniques occupaient la région autour de Guangzhou, puis ils prirent la ville voisine de Ningpo (de nos jours Ningbo) et le poste militaire de Chinhai.

Les opérations militaires se déroulent dans la province de Canton, les Britanniques se rendent vite maîtres des endroits stratégiques. Yishan va mettre plusieurs semaines à arriver à Canton, il va lancer un assaut contre les Britanniques mais celui-ci est repoussé, les Chinois se replient à l’intérieur de Canton. Yishan va demander l’armistice et une convocation d’armistice (convention sur le rachat de Canton) sera signée le 27 mai 1841. Cette convocation engage les Chinois à racheter Canton 6 millions de dollars aux Britanniques (dont un million le jour même). Mais elle repose sur un double malentendu utilisé par les diplomates britanniques : les Chinois considèrent cette action comme un prêt commercial et les Britanniques n’ont pas renoncé à l’indemnisation des stocks d’opium et aussi à Hong Kong.

Capitulation chinoise

Les Britanniques veulent encore faire peur aux Chinois afin d’obtenir davantage avec une nouvelle négociation. En août 1842, une escadre britannique remonta le Yangzi Jiang jusqu'à Nankin, obligeant le gouvernement de l'empereur Tao-kouang à capituler et à signer le traité de Nankin le 29 août 1842. Ce Traité, donne aux Britanniques, le libre commerce de l'opium, la fin de l'obligation de négocier uniquement avec les Co Hong et surtout la concession de l'île de Hong Kong qui sera reprise par la suite.

Les forces britanniques étaient dirigées par Le général Anthony Blaxland Stransham.

La facilité avec laquelle les forces britanniques avaient obtenu la victoire affecta gravement le prestige de la dynastie Quing. Cela contribua certainement à la rébellion Taiping (1850-1862).

Les traités

Le 29 août 1842, les représentants de la cour vont signer à bord d’une canonnière britannique le fameux Traité de Nankin. Ce traité sera complété plus tard par deux autres traités conclus le 28 juillet 1843 et le 8 octobre 1843 (traité de Humen). L’essentiel va au traité de Nankin. Mais ces 3 traités reconnaissent aux Britanniques des droits :

  • 1re clause : la cession de Hong Kong qui deviendra une place militaire et économique
  • 2e clause : 5 ports sont ouverts : Xiamen, Canton, Fuzhou, Ningbo et Shanghai. Les Britanniques obtiennent aussi le droit de s’installer dans ces ports et d’y vivre avec leur famille (pour les marchands). Le traité de Humen autorisait également l'édification d'édifices dans ces ports.
  • 3e clause : indemnités de guerre (frais + opium) : 21 millions yuan, soit 1/3 des recettes du gouvernement impérial. Échéancier de 4 ans.
  • 4e clause : douanes : les commerçants britanniques sont assujettis au paiement de droit sur les importations et exportations, le montant est désormais fixé par les Chinois et les Britanniques.
  • 5e clause : droit de la juridiction consulaire : en cas de litige entre un Chinois et un Britannique, juridiction britannique, base des lois britanniques.
  • 6e clause : la nation la plus favorisée : si la Chine signe un traité avec une autre puissance, le privilège accordé à la nation en question sera de fait accordé au Royaume-Uni.

D’autres nations (États-Unis d'Amérique, France) demandent les mêmes privilèges que ceux accordés au Royaume-Uni.

  • États-Unis : en 1842, revendiquent les mêmes droits commerciaux et légaux. En 1844, ils les obtiennent par le traité de Wangxia (village près de Macao)
  • France : Avant la guerre de l’opium, les français étaient mal placés commercialement puis ils obtiennent les mêmes droits en octobre 1844 par le traité de Whanpoa. Ils obtiennent de plus le droit de construire des églises et des cimetières. Quelques jours après, ils obtiennent le droit d’évangéliser.

Les conséquences économiques et sociales de la 1re guerre de l’opium

Après les traités de Nankin, l’économie chinoise s’ouvre aux puissances étrangères et vice-versa. La Chine exporte plus de 100 millions de livres sterling de thé, deux fois plus qu'auparavant. De 12 000, les chinois exportent désormais 20 000 balles de soies en 1840, par le biais des Britanniques. Les commerces étrangers s’emploient à renforcer leur position et s’installent surtout à Shanghai (concession britannique en 1841, concession américaine en 1845, puis concession internationale). Shanghai devient une concession française en 1849 (enclave juridique avec ressemblance avec les quartiers français). Le commerce de l’opium continue de se développer. Il n’est toujours pas légal mais toléré : 40 000 caisses en 1838, 50 000 en 1850, 80 000 en 1863 (double en 25 ans).

Conséquences financières]

Avant 1821, la caisse est vendue entre 1 000 et 2 000 dollars mexicains maximum. Après 1838, entre 700 et 1 000 dollars mexicains. La monnaie était le liang (traduit par taël en français). Le liang correspond à un poids d’argent variable. (37 g environ) et 1 liang = 1 000 sapèque (en cuivre). Les Chinois paient en liang. La monnaie d’argent se raréfie en Chine, la valeur augmente au détriment de la monnaie en cuivre. L'inflation monte :

  • Avant 1820, 1 liang = 1 000 sapèques
  • En 1845, 1 liang = 2 200 sapèques.

Cette hausse se reflète sur les Chinois qui n’ont que des sapèques, les impôts doublent.

Conséquences sociales

A la campagne, les paysans s’endettent de plus en plus auprès des propriétaires fonciers. Les paysans mendient, se font bandits, rejoignent des sociétés secrètes.

En ville : le sort des artisans n’est guère plus enviable. Les produits étrangers (cotonnades et fils) peuvent se déverser sur le marché chinois. Chômage pour certains, d’autres meurent de faim. Entre 1841 et 1849, on dénombre 100 soulèvements populaires environ. La Révolte des Taiping par exemple. Cette colère populaire se déverse contre les étrangers (mouvements d’hostilité) comme à Canton ou à Fuzhou.

La population se retourne aussi contre la cour. La révolte sera matée. En 1851, l'empereur Xian Feng accède au trône, les négociateurs des traités tombent en disgrâce et les Chinois veulent reprendre ce qu’ils ont consenti à donner sous la disgrâce.

Le traité de Nankin, faisant suite à la première guerre de l'opium, ne laissait que cinq ports à disposition des Occidentaux pour le commerce.

Malgré cet accord, les puissances européennes, dont la balance commerciale était largement déficitaire, désiraient étendre leur commerce vers le Nord et vers l’intérieur de la Chine.

De plus, le Commerce de l'opium était toujours illégal en Chine.

Cependant, le vice-roi de la ville de Canton le pratiquait tout en faisant condamner à mort les étrangers accusés de ce commerce. C'est ainsi que la France et les États-Unis demandèrent, en 1854, des révisions dans le traité de Huangpu et le traité Wangxia. Le Royaume-Uni fit la même demande, citant les articles sur le « traitement égalitaire » dans les statuts des nations les plus favorisées.

En 1854, les ministres occidentaux et étasunien contactèrent de nouveau les autorités chinoises et demandèrent des révisions des traités :

  1. Pouvoir pénétrer sans hostilité dans Canton.
  2. Pouvoir étendre le commerce à la Chine du Nord et le long du fleuve Yangzi.
  3. Le commerce de l’opium était toujours illicite, ils voulaient le légaliser.
  4. Les Occidentaux voulaient traiter avec la cour directement à Beijing.

La cour impériale de la dynastie Qing rejeta alors les demandes de révision du Royaume-Uni, de la France et des États-Unis d'Amérique. Dès lors, les puissances occidentales cherchèrent d'autres moyens pour arriver à rééquilibrer une balance commerciale très déficitaire.

La guerre

Les puissances occidentales estimaient que seule la guerre pouvait amener l'Empire chinois à changer de position. Dès lors, les puissances occidentales attendirent l'événement qui pouvait amener le conflit.

Cet événement eut lieu le 8 octobre 1856, lorsque des officiers chinois abordèrent l’Arrow, un navire chinois enregistré à Hong Kong sous pavillon britannique, suspecté de piraterie et de trafic d'opium. Ils capturèrent les douze hommes d’équipage et les emprisonnèrent. Cet épisode est souvent appelé « l'incident de l'Arrow ».

Les Britanniques demandèrent officiellement la relaxe de ces marins en faisant valoir la promesse par l'empereur de la protection des navires britanniques. Ces arguments furent ignorés par les autorités chinoises. Les Britanniques évoquèrent ensuite l’insulte faite au drapeau britannique par les soldats de l'Empire Qing.

La première partie de la guerre

Bien qu'affaiblis par une mutinerie difficile à réprimer aux Indes, la révolte des Cipayes, les Britanniques répondirent à l’incident de l’Arrow en 1857 en attaquant Canton depuis la rivière des Perles. Ye Mingchen, alors gouverneur des provinces du Guangdong et du Guangxi, ordonna aux soldats chinois en poste dans les forts de ne pas résister. Après avoir pris sans difficulté le fort voisin de Canton, l’armée britannique attaqua la ville elle-même. Les navires de guerre américains, y compris l'USS Levant, bombardèrent Canton. Les habitants ainsi que les soldats résistèrent à l'attaque et forcèrent les assaillants à battre en retraite vers Humen.

Le parlement britannique, décida d'obtenir coûte que coûte réparation de la part de la Chine pour l’incident de l'Arrow, demanda à la France, aux États-Unis et à la Russie de s’allier à elle. La France rejoignit les Britanniques contre la Chine après l’exécution du missionnaire Auguste Chapdelaine (incident dit du père Chapdelaine), par les autorités locales chinoises dans la province du Guangxi. Les Américains et les Russes firent des offres d’aide aux Britanniques et aux Français, mais, finalement, ne les aidèrent pas militairement.

Les Britanniques et les Français joignirent leur force sous le commandement de l’amiral Sir Michael Seymour. L’armée britannique dirigée par Lord Elgin et l’armée française dirigée par le général Gros, attaquèrent et occupèrent Canton à la fin de l’année 1857. Ye Mingchen fut capturé et Baigui, le gouverneur de Guangdong, se rendit. Un comité mixte de l’Alliance fut formé. Baigui fut maintenu à son poste original pour maintenir l’ordre au nom de l’Alliance. L’Alliance maintint Canton sous son contrôle pendant près de quatre ans. Ye Mingchen fut exilé à Calcutta, en Inde, où il se laissa mourir de faim.

La coalition se dirigea ensuite vers le nord pour prendre les forts de Dagu, à côté de Tianjin, en mai 1858.

L'enseigne de vaisseau Henri Rieunier (1833-1918), de l'artillerie de marine, assistera à toutes les opérations de la première partie de la guerre de Chine, ses écrits exceptionnels sont conservés et relatent les évènements, comme suit: "L'aviso "Marceau" participe à la prise d'assaut de Canton, grand port de la Chine méridionale, le 28 décembre 1857 par les flottes combinées de l'Angleterre et de la France, à la suite d'attaques contre des navires marchands anglais.

Le 20 février à Canton, Henri Rieunier embarque sur la canonnière la "Mitraille" dont il dirige les batteries d'artillerie. Le 16 mars 1858, l'amiral de Genouilly, avec l'escadre quitte Canton pour la Chine du nord. Le 20 mai 1858, agissant de concert avec les Anglais, il s'empare des forts de Ta-Kou à l'embouchure du Peï-ho dans le Petchili avant de remonter le Peï-ho jusqu'à Tien-Tsin en direction de Pékin. La "Mitraille" dont l'équipage fut décimé - 2 officiers tués, un blessé - participe à leur attaque et à leur prise. Henri Rieunier fut chargé de miner et de faire sauter le fort sud de l'embouchure de Peï-ho, en juin 1858. La route de Pékin ouverte, le gouvernement chinois signe à Tien-Tsin les 27 et 28 juin 1858 avec l'Angleterre et la France, les traités qui mirent fin à la première expédition de chine de la 2ème guerre de l'opium. L'affaire de Chine étant ou paraissant réglée, l'amiral Rigault de Genouilly porte ses forces sur la Cochinchine...etc".

Le Traité de Tianjin

En juin 1858, le Traité de Tianjin conclut la première partie de la guerre à laquelle la France, la Russie et les États-Unis étaient partis prenants. Ce traité ouvrit onze ports supplémentaires au commerce occidental. Mais, dans un premier temps, les Chinois refusèrent de le ratifier.

Les points principaux du traité étaient :

  1. Le Royaume-Uni, la France, la Russie et les États-Unis auront le droit d’établir des missions diplomatiques à Pékin, jusque là, cité interdite.
  2. Dix ports chinois supplémentaires seront ouverts au commerce étranger, y compris Niuzhuang, Danshui, Hankou et Nankin.
  3. Le droit pour tous les navires étrangers, y compris les navires commerciaux, de naviguer librement sur le Yangzi Jiang
  4. Le droit pour les étrangers de voyager dans les régions intérieures de la Chine dont ils étaient jusqu’à présent bannis.
  5. La Chine doit payer une indemnité au Royaume-Uni et à la France de deux millions de taels d’argent chacune.
  6. La Chine doit payer une indemnité aux marchands britanniques de deux millions de taels d’argent pour destruction de leurs propriétés.

Les négociations se poursuivirent et, en novembre 1858, le gouvernement central accepta de légaliser le commerce de l’opium : en 1886 le commerce de l’opium porta sur 180.000 caisses (environ 10.000 tonnes). Dès 1878 : 100 millions d’opiomanes chinois. Problème jusqu’en 1906.

Les Chinois acceptèrent que les droits de douane soient extrêmement faibles et que les droits maritimes passent sous contrôle étranger.

La ratification eut lieu plus d'un an après. Le gouvernement chinois laissa traîner les choses et les Britanniques et Français eurent recours à la force pour aller plus vite : 18.000 Britanniques et 7.000 Français s’embarquèrent sur les eaux chinoises.

Le Traité d'Aigun avec la Russie

Le 28 mai 1858, le traité d'Aigun est signé avec la Russie pour réviser les frontières entre la Chine et la Russie telles qu’elles avaient été définies par le traité de Nertchinsk en 1689.

Les Russes s’étendent vers la Chine, car ils ne peuvent s’étendre vers le Proche Orient (guerre de Crimée perdue, 1856). Il y a très longtemps que Russes et Chinois s’étaient entendus sur des frontières communes. Par la suite, les Russes avaient essayé de repousser les frontières (au-delà du fleuve Hei Long) et avaient installé deux forts. Les Russes profitent de la deuxième guerre de l'Opium pour consolider leur avancée. Ils collaborent en sous main avec Français et Britanniques et se posent en médiateur. La Russie gagne la rive gauche de la rivière Amour ainsi que le contrôle d’un territoire hors gel le long de la côte Pacifique, où elle fonde la ville de Vladivostok (le souverain de l’est) (anciennement Haishenwei) en 1860.

Les Russes ont les mêmes privilèges que les autres pays et la Chine reconnaît formellement leurs annexions de plus d'un million de kilomètres carrés de territoires.

La seconde partie de la guerre

En 1859, après le refus de la Chine d’autoriser l’établissement d’ambassades à Pékin comme stipulé dans le traité de Tianjin, une force navale sous le commandement de l’amiral Sir James Hope encercla les forts gardant l’embouchure de la rivière Hai He, mais subit des dommages et fit retraite sous la couverture d’un escadron naval commandé par Josiah Tattnall.

En 1860, une force franco-britannique partie de Hong Kong accosta à Pei Tang, le 3 août, et attaqua avec succès les forts de Dagu le 21 août. Le 26 septembre, la force arriva à Pékin et occupa la ville le 6 octobre. Nommant son frère, le prince Gong comme négociateur, l’empereur chinois Xianfeng se réfugia dans son palais d’été de Chengde. Les troupes franco-britanniques incendièrent les deux palais d’été, le nouveau et l’ancien, à Pékin, après plusieurs jours de pillage. Le vieux palais d'été fut totalement détruit. Cependant, Pékin elle-même ne fut pas prise, les troupes restant cantonnées en dehors de la ville.

La Campagne de Chine de 1860 vécue et racontée par un soldat du 102ème régiment d’infanterie de ligne.

Le débarquement a Pei Tang

la Bataille de Palikao

la devastation du palais d'été

Lettre de Victor Hugo, datée du 25 novembre 1861, critiquant la mise à sac du palais Yuanmingyuan le 17 octobre 1860 :

peopledaily.com

La Convention de Pékin

Après la fuite de Pékin de l’empereur Xianfeng et de sa suite, en juin 1858, le Traité de Tianjin est finalement ratifié par le frère de l’empereur, le prince Gong, lors de la Convention de Pékin le 18 octobre 1860, mettant un terme à la seconde guerre de l’opium.

Le commerce de l’opium est légalisé et les chrétiens voient leurs droits civils pleinement reconnus, incluant le droit de propriété privée et celui d’évangéliser.

La convention de Pékin inclut :

  1. La reconnaissance par la Chine de la validité du traité de Tianjin
  2. L’ouverture de Tianjin en tant que port commercial, destiné au commerce avec Beijing
  3. La cession du district de Kowloon au Royaume-Uni
  4. La liberté de culte en Chine. Les missionnaires catholiques français ont le droit d’acheter des terres et de construire des églises.
  5. L’autorisation pour les navires britanniques d’amener de la main-d’œuvre chinoise à l'étranger pour remplacer les esclaves récemment affranchis. Ces coolies partiront pour les mines ou les plantations de Malaisie, d’Australie, d’Amérique latine, des États-Unis.
  6. Le paiement aux Britanniques et aux Français d’une indemnité augmentée à huit millions de taels d’argent chacun.

1918, GUERRE bactériologique de la GRIPPE ESPAGNOLE où sont morts 20 millions d’humain

CHINOIS, sachez aussi ceci…..

L’Afrique est le Pays le plus vacciné et c’est là qu’on retrouve le plus haut taux de sidatiques dans le monde.

La production de vaccins médicaments ou d’autres substances actives biologiquement dites “comestibles” (moléculture), car produites par des cultures agricoles, peut rapidement se révéler dangereuse dans le cadre d’une utilisation hostile. Depuis une dizaine d’années, les modifications génétiques des plantes agricoles cherchent, entre autres, à produire et fournir des vaccins. Plusieurs articles démontrent que les plantes transgéniques peuvent induire une réponse immunitaire chez l’Homme (Haq et al. 1995, Streatfield/Howard 2003), et des essais cliniques sur patients humains sont en cours de réalisation, testant des vaccins produits par des cultures (3). Ces vaccins peuvent être extraits de la plante en vue de traitement ultérieur ou bien directement administrés aux patients par consommation de la plante productrice. Les vaccins ne sont qu’un exemple des différentes molécules pouvant être produites par des cultures transgéniques. Plusieurs entreprises utilisent cette technologie afin de produire des enzymes industrielles, des hormones de croissance ou encore, des produits pharmaceutiques, ce qui pose un problème sérieux pour la santé humaine et l’environnement, surtout lorsque ces molécules pharmaceutiques sont produites par des plantes comestibles (4). En ce sens, la récente mission parlementaire française sur les enjeux des essais et de l’utilisation des OGM a proposé dans son rapport d’“adapter les conditions de ségrégation d’une culture OGM à finalité médicamenteuse en fonction du danger potentiel que représenterait une ingestion accidentelle. En particulier, utiliser des plantes qui n’ont pas de finalité alimentaire, sauf nécessité absolue dûment justifiée [...] et protéger matériellement les parcelles de plantes transgéniques à finalité médicale contre les intrusions humaines et animales ; requérir l’avis du ministère de la santé”

(5) Dans le cas de conflits prolongés, il pourrait être tentant d’utiliser de telles cultures pour répandre des molécules nocives, induisant par exemple des cancers ou des diminutions de fonctions vitales comme la fertilité chez les Hommes ou les animaux, ou encore en introduisant la fragilité d’une culture qui pourrait conduire à sa destruction complète. De tels “outils guerriers” pourraient aisément être introduits dans les stocks de semences, grenier alimentaire d’un pays. Une telle action peut être simplement effectuée sous couvert de distribution d’aide alimentaire.

Des molécules comme celles agissant sur la composition sanguine pourraient représenter une arme efficace et la production de ces molécules ne serait pas techniquement difficile. Ainsi, l’entreprise américaine Epicyte a développé un maïs contraceptif en modifiant génétiquement le maïs afin qu’il produise un anticorps contre le sperme humain. Elle souhaite dorénavant pouvoir le produire en grande quantité afin de vendre ces anticorps sous la forme d’un gel contraceptif. Pourtant, il n’existe encore aucune preuve de l’intérêt économique des “plantes-médicaments” par rapport à la production des mêmes molécules par des cellules GM cultivées en fermenteur. De plus, cette technologie ainsi que les produits qui en résultent sont très difficiles à contrôler. Le scandale du maïs Starlink (cf. Inf’OGM n°18) ou plus récemment du maïs Bt10 aux Etats-Unis sont là pour nous le rappeler (cf. Inf’OGM n°62).

Quand le contrôle biologique légitime les armes biologiques

Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour savoir ce que quelqu’un qui a faim et n’a plus d’argent sera prêt à faire pour arriver à manger et à survivre.

Mais moi je n’ai pas envie de ramper, de me conformer juste afin de survivre et me contenter de miettes, de les laisser empiéter sur mes droits à une vie décente et de leurs donner bonne conscience d’agir ainsi.

Voilà aussi qui peut expliquer pourquoi les Décideurs raréfient les emplois et l’argent, nous endettent afin de nous rendre dépendants d’eux et surtout dans le but de nous mater pour qu’on fasse tout ce qu’ils veulent.

Les populations sont des cobayes pour les chercheurs militaires.

Ils contaminent les gens et certaines populations qu’ils choisissent de réduire et d’obliger à eux en faisant semblant de les soigner… mais ces populations deviennent dépendantes de ceux qui ont détraqués leurs systèmes nerveux.

Des espions royaux militaires inoculent à l’insu de certains citoyens des molécules qui agissent sur la composition sanguine (douleurs musculaires). Ces molécules représentent une arme efficace pour handicaper des gens qu’ils jugent récalcitrant et qui les dénoncent. Cette production de molécules n’est pas techniquement difficile à réaliser.

Le pouvoir destructeur de certaines maladies n'a pas échappé aux belligérants de toutes les époques. Certaines techniques simples sont les précurseurs de la guerre biologique :

  • Empoisonner un puits avec des charognes
  • Propulser des cadavres pestiférés dans une ville assiégée (En 1344, les Mongols vinrent à bout de la résistance du comptoir génois de Féodosia avec cette méthode)
  • Enduire les pointes des flèches au moyen d'excréments
  • Offrir des objets souillés par des malades à ses ennemis

En Chine, l'envoi de cadavres de pestiférés dans les villes assiégées constitua sans doute le premier exemple d'arme bactériologique, bien que personne ne sût à l'époque ce qu'était une bactérie. Durant l’Antiquité, Grecs, Romains et Perses utilisaient des cadavres d’animaux pour contaminer les sources et puits ennemis.

Au XVIIIe siècle en Nouvelle-France, le général Amherst autorisa la distribution de couvertures infestées de petite vérole aux Amérindiens de la tribu des Delaware, dans le but qu'ils soient exterminés par la maladie. Cet événement constitue sans doute la première attaque biologique officielle perpétrée en Amérique.







Ils sont arrivés à nous faire manger du poisson CRU (SUSHI = dégoûtant) et ils réussiront à .....












Conclusion

J’ai beaucoup d’affinité avec les Chinois.

Moi comme plein d’humanistes à travers le monde, nous avons à cœur votre peuple.

La Chine c’est presque 2 milliards d’étoiles, 2 milliards d’humains à protéger et à ne plus réduire à l’état des esclavagismes du prolétariat, et comme main d’œuvre à bon marché.

Les Chinois,

Oui,

CHACUN DES CHINOIS

Et tout comme tous les autres humains de la Terre : a droit à ….

à …. L’ÉGALITÉ ÉCONOMIQUE

à …. Son héritage écono-socio-politique grâce au labeur de ses ancêtres et qui souhaitaient que leurs descendants aient une vie plus facile

à …. AVOIR UNE RENTE ÉCONOMIQUE, UNE RENTE SUR L’EXPLOITATION DE VOS RICHESSE NATURELLES….

à ….

à ….

à ….

à ….

Allez, ami(e)s de Chine : commencez à être exigeants et cumulez vos énumérations de droits.

ANNEXES


AMI(E)S CHINOIS, LISEZ BIEN CECI

La Concurrence est utilisée par les Britanniques pour voler les Pays, et que la France et que M.Sarcosi embarquent niaiseusement dans ces idéologies anarchistes, de divisions, et anti-fraternelles. Et en suiveux, au lieu d’unir nos forces et de ne laisser personne nous affaiblir par l’esprit militaire du ‘’diviser pour régner’’ : il prône comme tous les généraux-pions le feraient une économie archaique encore fondée sur les chevaliers-de-la-concurrence. Sommes-nous insignifiants ou toujours incapables de nous déconditionner des mentalités de guerre qui persistent ?

Nous ne sommes pas des ressources humaines ni des machines à travailler ou à vendre au Dieu-Entreprise et à sacrifier à l’Économie. Nous ne sommes pas des valeurs marchandes d’économie ni du matériel à exploiter pour un usage déterminé par des milliardaires mondialistes élitistes qui croient en l’esclavage et aux hiérarchies qui rapportent. Nous sommes des but, des finalités : pas des moyens.

Hélas, le vol est installé et déplorablement légalisé entre nous par la Concurrence, la Compétition, les Hiérarchies, la Valorisation maladive pour conformer, l’Équité et le Mérite, l’Élitisme, les taxes et les impôts... Rendons-nous en bien compte. C’est pour nous voler qu’on nous jette dans la concurrence et la compétition.

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Toujours revendique le maximum pour les 7 milliards d'humains sans exception


PAS DE PAIX TANT QUE l’Éducation enseignera la concurrence, la compétition au lieu des

Valeurs Fraternelles de l’Égalité, du Partage, de l’entraide, de la Sécurité Financière….

PAS DE PAIX TANT QUE l’on enseignera aux enfants à se comparer maladivement entre eux

au lieu de fraterniser et d’unir leurs personnalités

PAS DE PAIX TANT QUE des religions et des sociétés secrètes isoleront leurs adeptes en leurs faisant croire qu’ils sont meilleurs que les autres et que les autres sont mauvais


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TOUS DES HÉROS LORSQU'ON SERA POUR L'ÉGALITÉ ET LE PARTAGE ENTRE LES PAYS..... et dénonceront le mensonge de l'Égalité par l'Équité.


Les ÉLITES par leurs Écoles et leurs Médias, mettent dans la tête des gens les mêmes rêvent qu’ils ont : rêves de vengeances, rêves de pouvoirs malsains, rêves d’avoir des ‘’supers pouvoirs’’ pour imposer ses idéologies antifraternelles de la vie de combat à tous… mais toujours finement sous le prétexte de justice et de mépris. Tous leurs FILMS de guerres sèment en nous tous une morale ''Western'' de l'idée de ''Bons/méchants'': par exemple au début de tous ces films de COWBOYS ou ''Policiers'' il y a un meurtre et tout le long de ces films on nous fait tellement mépriser un prétendu ''méchant'' que tous à la fin du film ON SOUHAITE SA MORT! Et c'est comme cela depuis notre enfance: LA SECTE MONDIALE DES ÉLITES nous ont mis dans la tête leurs mentalités et leurs prisons de la haine..... sortons-en!

Les peureux et les impuissants se cherchent des héros (militaires) pour les sauver... HÉROS de l’HORREUR, du MÉRITE dans le combat et non le partage.... Ces ''Superman de la vie de combat et du mérite'', ces ''Batman de la concurrence et de l’équité inégalitariste des salaires''…. Tous jouent aux héros ÉLITISTES et mécréants se décernent des prix et des honneurs pour se rendre intouchables et passer honorablement à l'Histoire, ils aiment impressionner et nous maintenir sous eux.....

HÉROS MEURTRIERS, Conquérants sanguinaires, de la Compétition, de la Concurrence. HÉROS QUI TUENT AU LIEU DE SAUVER DES VIES. HÉROS qui tuent des ‘’méchants’’ humanistes parce qu’ils parlent trop d’unir dans le Partage.... Les Dirigeants de ce Monde ont toujours su utiliser les Bandits, les Pirates, les Sadiques, les Mafias, les Motards, les révoltés et exclus….. contre leurs propres populations…. Et les héros justiciers sanguinaires de la guerre.


Lorsqu’il est vainqueur, le meurtrier se croit héros. Et c’est ainsi que ces Conquérants assassins ont écrit l’Histoire à leurs façons et en se rendant intouchables en se sanctifiant et se glorifiant... On nous a fait croire que la guerre tuait les mauvais…. Et bien au contraire : les guerres ont tué les plus doux, les moins guerriers, les plus pacifiques, les populations non guerrières et moins assassines…. Il n’est resté que les moins nobles, les plus sadiques…. Non, les guerres ne favorisent que les mieux armés et trop souvent les plus exécrables.

Ce ne sont pas les Héros des pauvres. Il urge que nos artistes et scénaristes se décompétitionnent et inventent des HÉROS Fraternels qui gagnent sans combat et dans l'écoute, la douceur et le respect.... On ne perd qu'en combattant, dans le combat il y a toujours un perdant et dans le Partage tous y gagnent.....

''Certains se réjouissent de leurs victoires, d'autres de la saison des fraises''.


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« LES HÉROS ne tuent pas des vies mais cherchent à en sauver ; ce ne sont pas les Héros des riches mais les Héros des pauvres, les Héros du Partage, les Héros de l’Égalité, et les Héros de l’Entraide entre les Pays. Ils jouent aux héros, aux winners: qu’ils se sauvent eux-mêmes de leurs mentalités assassines de l’Élitisme et son taux de 67% de pauvres nécessaires pour maintenir leur hiérarchie cléricale du Mérite. Devenez LES HÉROS DE L'ÉGALITÉ MONÉTAIRE ET DU PARTAGE ENTRE LES PAYS.


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« L’ÉTAT DÉFEND LES RICHES CONTRE LES PAUVRES » dit le célèbre économiste Adam Smith. Et il ajoute « L’ÉTAT DIMINUE LE FARDEAU DES RICHES EN VOLANT LE BIEN COLLECTIF ». Adam Smith affirme que c’est cette réduction d’impôt chez les riches qui contribue à la dette gouvernementale. C'est nous qui payons les employés d'Alcan en lui accrodant des privilèges financiers et de l'hydro-électricité gratuite....


Rio Tinto ALCAN

DE LA REINE


Rio Tinto Alcan doit nous rembourser les 60 milliards $ qu'elle doit aux populations en Impôts Reportés Cumulés!

--- Taxons-là de 10 % (soit 6 MM$ de revenus par an pour nous) jusqu'à remboursement …

SINON …

--- Ou saisissons Rio Tinto Alcan pour Impôts Reportés Cumulés Impayés

*** Et toujours répartir également entre tous les citoyens adultes ces impôts (les impôts sont LE BIEN COMMUN, c’est une taxe de 50% sur tout ce qui se produit dans NOTRE Société), pour que chacun à sa façon puisse contribuer à sa collectivité.


C’est la région qui fait vivre Alcan
et qui finance ses emplois
--->

En réalité, ces Milliardaires Entreprises ne paient aucun des salaires de leurs employés. Ces Riches Entreprises étrangères réussissent à faire payer aux populations les salaires de leurs employés par divers truchements: privilèges fiscaux, impôts reportés cumulés (à jamais), hydro-électricité gratuite, ,,,,,

Bref ils utilisent NOS Fonds Publics, et cet argent que nos élus leur accordent : c'est de l'argent qu'on a en moins (voilà pourquoi on est si pauvre, voilà qui explique l'EXODE et la baisse croissante des emplois....)


Les ''B.S. sont en haut : pas en bas :

Les vrais ''B.S.'': ce sont ces milliardaires Entreprises qui nous quêtent des crédits d’impôts; qui veulent avoir le monde pour une somme dérisoire; qui s’arrangent pour que ce soient les populations qui paient leurs employés par divers truchements fiscaux.






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.... à suivre......



















.... blog en amélioration.... à suivre ....



*** Et ainsi vous contribuerez à progressivement améliorer pacifiquement les mentalités de nos dirigeants, et par ce fait, les conditions de vie de tous les humains..... Et cela peut se faire très rapidement si nous nous en donnons les moyens et que nous nous faisons confiance en nous entraidant chacun à sa façon. '









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Ah oui, j'oubliais, Humanité Reine contient 78 livres que je suis en train de terminer et qui parlent de tous les sujets (amour, bonheur, jeunes, aînés, humanisme, éducation, économie, Religions, santé, éthique du bien commun, banques, Lois et Droits, Priorités, Constats, Solutions.....), et chacun d'eux a au moins déjà 400 pages.

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Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."



par Viny Eden, soleilpourtous@hotmail.com


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